Quand le capitalisme perd la tete es un libro escrito por Joseph E. Stiglitz tiene un total de 416 páginas , identificado con ISBN 9782213616599 Quand le capitalisme perd la tete se publicó en el año 2003
Poursuivant le proc&65533;s du lib&65533;ralisme sans limites amorc&65533; dans La Grande D&65533;sillusion, Joseph Stiglitz sappuie cette fois sur sort exp&65533;rience de quatre ans en tant que conseiller &65533;conomique principal du pr&65533;sident Clinton pour r&65533;pondre &65533; une question centrale : comment, au tournant du troisi&65533;me mill&65533;naire, est-on pass&65533; du pr&65533;tendu " triomphe " du capitalisme &65533; lam&65533;ricaine - bien entendu sur&65533;valu&65533; et fond&65533; sur des bases tr&65533;s incertaines, notamment leffervescence boursi&65533;re et tout ce qui sensuit (stock-options, tyrannie des actionnaires.
) - &65533; une chute retentissante ? Avec une clart&65533; de propos remarquable et une attention constante aux m&65533;canismes &65533;conomiques les plus concrets, il aborde le ph&65533;nom&65533;ne de la bulle sp&65533;culative, la vague des d&65533;r&65533;glementations aux Etats-Unis - en particulier dans le domaine des t&65533;l&65533;communications - et leurs cons&65533;quences, ou encore les scandales comptables, &65533; commencer par le premier et le plus retentissant : le cas Enro.
A loccasion de cette plong&65533;e au c?ur des centres de d&65533;cision la plus grande &65533;conomie de march&65533; du monde, lauteur proc&65533;de &65533; la d&65533;molition des divers mythes qui &65533;taient au fondement des politiques &65533;conomiques des Etats-Unis, mais aussi de nombreux autres pays occidentaux ; dans les ann&65533;es 1990 : la r&65533;duction du d&65533;ficit ne relance pas l&65533;conomie, limpact des guerres sur cette derni&65533;re est n&65533;gatif ; il ny a pas de " h&65533;ros " &65533;conomiques (cest la politique qui compte et non les hommes) ; la " main invisible " dAdam Smith est invisible pour la bonne raison quelle nexiste pas ; la finance nest pas la source de toute sagesse ; lEtat nest pas syst&65533;matiquement mauvais.
Enfin, fort de ses observations, Stig<